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Une méthodologie de conversion et de migration éprouvée et outillée. |
Migration de Systèmes, Langages, Base de Données, IHM, Ordonnanceurs. Exemples. |
Migration de Modules Cobol Batch vers Java
Migration COBOL vers Java.
Obtenir une source Java s’affranchissant au mieux de son origine COBOL. Si le source COBOL ne provient pas d'une traduction, il devra subir, au préalable, une traduction COBOL vers COBOL structuré.
Traduction COBOL en COBOL structuré.
Les programmes et sous-programmes COBOL sont réorganisés en SECTIONs appelées par PERFORM, respectant les normes du COBOL II et épurés des instructions telles que : ALTER, GO TO ainsi que des paragraphes. Une migration des fichiers séquentiels-indexés vers une base de données relationnelle peut également accompagner cette traduction.
Traduction COBOL structuré en Java.
Une migration des fichiers séquentiels-indexés vers une base de données relationnelle est inévitable, si elle n’a pas été faite au préalable.
Aspects de la traduction.
Les formats de données incompatibles (hors SQL, par définition proches) concernent, en particulier, les fichiers séquentiels permanents. Ces derniers deviennent des fichiers de format texte ne comportant plus de zones de format binaire ou packed-decimal. Leur données numériques sont « étendues » mais demeurent exploitées par les programmes dans le format Java le plus proche : Integer ou Float. Le transfert de ces fichiers devient compatible pour toutes les plateformes.
Les variables des programmes sont soit élémentaires (01 x PIC …, 77 y PIC …), soit définies au sein d’une structure.
Les variables élémentaires sont définies au format Java le plus proche : String, Integer, Float et gérées par les méthodes Java standard associées à leur définition. Si elles sont « occursées », elles donnent lieu également à la définition d’un tableau Java.
Les structures comportent des définitions de variables de structure et peuvent comporter des sous-structures (sous-groupes), des redéfinitions et des « occurs » au niveau des sous-groupes ou des variables. Une structure devient une classe Java : classe interne au programme si elle est définie au sein du programme, classe à part entière si elle est définie dans un COPYBOOK. Tous les composants d’une structure : elle-même, sous-groupes, redéfinitions et variables sont gérés par des méthodes getters et setters de la classe dont le but est de maintenir l’intégrité de la structure quelle que soit sa complexité. Notons que si la structure, héritée du COBOL, est inutile, on aura intérêt à la supprimer au profit de définitions de variables élémentaires.
Les programmes (et sous-programmes) COBOL deviennent des classes Java d’un package applicatif, de même que les COPYBOOKs COBOL.
Les sections COBOL deviennent des méthodes de la classe Java du programme.
- La notation Camel est appliquée en règle générale : une variable COBOL nommée 1-XXX-YYY sera renommée en z1XxxYyy.
Exemple de Migration Cobol Batch vers Java(1)
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Exemple de Migration Cobol Batch vers Java(2)
Les différentes phases d'un projet de conversion migration.